Votre accompagnement
Vous souhaitez prendre soin de vous-même, gagner en harmonie personnelle et dépasser certains blocages et limitations intérieures ?
Petite éthique du changement
Les personnes qui ont envie de changer évoquent fréquemment l’idée d’être plus alignées avec leurs valeurs personnelles, avec ce qui est important pour elles.
Elles souhaitent se sentir mieux dans leur quotidien, plus en cohérence avec elles-mêmes.
Et si changer, ce n’était pas finalement devenir plus soi ?
Alors… Pourquoi n’arrive-t-on pas à changer parfois, malgré toute notre bonne volonté ?
Parce que dans la recette du changement, la volonté consciente est bien sûr un ingrédient essentiel, mais ce n’est pas le seul. C’est seulement la partie visible, la partie émergée. Et ce n’est pas forcément elle qui a le dernier mot, comme nous le constatons parfois à nos dépends. « Quand on veut, on peut », dit l’adage populaire. Ce n’est pas aussi simple que cela.
En réalité, nous sommes largement influencés au quotidien par l’ensemble de nos apprentissages passés, sur nous-mêmes, sur le monde. Beaucoup d’expériences que nous avons faites, d’émotions que nous avons ressenties, sont venues servir de socle pour les apprentissages suivants et ainsi de suite. La plupart du temps sans que nous en ayons conscience. Nous avons automatisé des réactions, des comportements, une certaine vision du monde et de nous-même. Ce qui est une bonne chose, cela nous fait gagner du temps et de l’énergie au quotidien.
Mais il arrive que ces apprentissages, que nous avons intériorisés, automatisés, ne nous conviennent plus. Et même qu’on les confonde avec « qui nous sommes ».
C’est là où expérimenter un état de conscience différent est intéressant car il permet de constater que notre monde intérieur, nos capacités, nos ressources, sont plus vastes que notre mental ou que ces automatismes du passé, dans lesquels nous tournons parfois en rond.
Dans ce cadre, je vous aide à accueillir tout ce qui, en vous, a besoin de l’être, et notamment vos émotions. Trop souvent, et encore plus lorsqu’il s’agit d’émotions désagréables, nous avons appris à les contrôler, à les réprimer, à les mettre de côté. À ne pas les exprimer ou alors, pas trop fort.
Or nous pouvons, en explorant nos représentations inconscientes, en nous appuyant sur l’énergie de ces émotions, faire évoluer des automatismes qui nous bloquent et créer en nous-même de nouvelles possibilités. Changer…
Les bénéfices possibles
Vous trouverez ci-dessous des exemples de domaines dans lesquels je peux vous accompagner.
La liste est donnée à titre indicatif et la manière dont les thèmes sont regroupés n’est qu’une présentation destinée à créer plus de confort de lecture.
Sentez-vous libre de les relier à votre manière avec ce que vous aimeriez faire évoluer en vous. Chaque personne est unique, chaque envie d’évolution est personnelle.
Pour faire de sa singularité une force, remettre souplesse et capacité de mouvement dans son équilibre intérieur, mieux vivre ses émotions, mieux se connaître et apprendre à se réguler.
Confiance en soi
Hypersensibilité
Haut-potentiel
Émotions
Stress / anxiété
Pour se recentrer sur l’essentiel, (re)trouver sa place et s’aligner sur ce qui est vraiment important pour soi.
Passage d’étape de vie
Légitimité / « syndrome de l’imposteur »
Perfectionnisme
Dépasser une habitude / changer un comportement (amincissement, sommeil…)
Pour souffler, prendre du recul, voir la situation sous un autre angle et remettre du mouvement en soi, là où « ça grince » ou « ça bloque ».
Difficultés dans une relation
Peurs / Phobies
Procrastination
Pour exprimer le meilleur de soi-même, « mettre toutes les chances de son côté », permettre le meilleur usage possible de ses forces et de ses ressources.
Préparation en vue d’une performance sportive ou intellectuelle (examens, concours…)
Meilleure acceptation d’un traitement ou d’une intervention chirurgicale
Pour explorer, se découvrir et se développer.
Apprentissage de l’auto-hypnose
Exploration de soi
Développement de la créativité
Dépasser des difficultés scolaires
Améliorer ses stratégies pour apprendre
Hypersensible ?
« It is both a blessing. And a curse. To feel everything. So very deeply. »
(« C’est en même temps une bénédiction. Et une calamité. De tout ressentir. Avec une telle intensité. » )
– David Jones
L’hypersensibilité a été mise en lumière dans les années 1990 par une psychologue américaine elle-même hypersensible, Elaine Aron. En France, le psychanalyste et écrivain Saverio Tomasella contribue également à faire connaitre cette caractéristique.
Si, depuis toujours, vous vous sentez facilement envahi.e / davantage gêné.e que les autres par les lumières vives, les bruits forts environnants (klaxons, travaux, sirènes…), les odeurs ou parfums entêtants…
Si vous ne supportez pas les étiquettes de vêtements et préférez les tissus doux car les autres vous irritent, vous « grattent et vous piquent »…
Si au restaurant, vous préférez souvent vérifier auprès du serveur que le plat sur lequel vous avez envie de jeter votre dévolu « n’est pas trop épicé, vous êtes sûr ? »…
Si après (et parfois pendant) une journée bien remplie, avec beaucoup d’interactions sociales, vous éprouvez le besoin impérieux de vous « retirer du monde » quelques minutes en vous réfugiant dans un endroit calme…
Si la devise « vivons heureux, vivons cachés » pourrait être la vôtre
Si « rentrer dans les cases » vous a toujours semblé compliqué, si la compétition et la prééminence donnée aux solutions à court terme vous fatiguent
Si vous évitez soigneusement films et séries avec de la violence ou des scènes choquantes (et que vous êtes à la limite de classer « Bambi » dans la liste)
Si vous ressentez fortement les émotions, au point de les vivre parfois comme des montagnes russes et qu’on vous a peut-être qualifié.e quand vous étiez enfant de « trop sensible » ou de « Jean-qui-rit-Jean-qui-pleure » (et du coup vous avez appris à contrôler… autant que possible)
Si vous avez une grande empathie et une tendance à vouloir systématiquement prendre le parti des plus faibles
Si enfant, vous aviez tendance à vous tenir un peu à l’écart et/ou à rechercher la compagnie des adultes (bienveillants)
Si vous êtes touché.e par la moindre remarque, le plus petit reproche, particulièrement de la part de personnes que vous aimez
Si l’un ou plusieurs de ces exemples vous parlent, alors sans doute êtes-vous hypersensible.
Si c’est le cas, rassurez-vous, vous n’êtes pas seul.e ! Cette caractéristique toucherait 15 à 20% de la population d’après les travaux d’Elaine Aron, et aurait été constatée non seulement chez les humains mais chez plus d’une centaine d’espèces. Contrairement à la timidité qui serait un réflexe acquis, l’hypersensibilité serait innée. Elle serait liée à un fonctionnement particulier du cerveau, utile à la survie de l’espèce car donnant aux individus concernés une plus grande capacité de perception de l’environnement.
Et il est possible de « vivre bien » tout en étant hypersensible.
Je vous accompagne pas à pas pour « déplier » votre mode d’emploi intérieur et en faire un atout pour votre vie.
L’hypnose, et surtout la Méthode Phoenix Capacity, sont des moyens efficaces pour vous aider à apprivoiser ce fonctionnement particulier.
Haut Potentiel ?
La notion de haut potentiel (quel que soit le terme que l’on utilise pour s’y référer, « HP », « THP », « zèbre », « précoce », « surefficient.e », « (sur)doué.e », « neuro-atypique »… ) repose sur une structure de raisonnement particulière.
Ce qu’une personne à haut potentiel n’est pas :
- ce n’est pas quelqu’un qui n’aurait pas besoin d’apprendre et saurait déjà tout
- ni quelqu’un qui a forcément une culture générale impressionnante
- ni systématiquement un.e premier.e de la classe
- ni quelqu’un qui aurait tout réussi avant les autres au même âge
Bref : cela n’est pas parce que l’on est diagnostiqué haut potentiel que l’on est un génie, loin de là ! La « zébritude » peut même être compliquée à vivre. Surtout si on n’est pas au courant que l’on a cette particularité (ce qui devient aujourd’hui plus rare heureusement, le sujet étant à la mode dans les médias depuis une quinzaine d’années).
Alors, c’est quoi ?
Davantage de connexions neuronales, des neurones miroirs très actifs (empathie), plus de circulation entre les deux hémisphères au travers du corps calleux, bref, un cerveau qui capte et traite plus d’informations à la seconde. Un fonctionnement de la pensée « en arborescence », chaque idée en amenant plein d’autres, un « moulin mental » qui accumule sans cesse des données et les associe aux éléments déjà collectés, qui anticipe, met en perspective, change d’angle de vue…
Et ça mouline, et ça mouline… Aaah, pouvoir poser sa tête dans un coin et cesser de penser !…
Sur la base des recherches actuelles, on peut dire qu’une personne à haut potentiel se caractérise par un fonctionnement neurobiologique particulier. En France, on l’objective par le passage de tests spécifiques, notamment du Quotien Intellectuel (via le WPPSI, WISC, WAIS – acronymes anglo-saxons de ces tests, qui varient en fonction de l’âge, pré-scolaire, scolaire, adulte). Mais l’hétérogénéité possible des résultats sur les différents axes de mesure rend la démarche parfois délicate, on peut ainsi avoir une « haute-potentialité » sur l’un des axes et être « normal » sur l’autre, etc…
D’autant qu’il est difficile, au fond, de quantifier un mode de pensée et un comportement en rapport à une « norme » (notion normative qui, soit dit en passant, a tendance à hérisser les personnes concernées). Le test n’est donc pas indispensable, même s’il peut aider dans certains cas. En France, entre 1 500 000 et 3 000 000 de personnes seraient concernées par ce fonctionnement particulier, sans compter celles qui ont un profil « hétérogène ».
Quoi qu’il en soit,
Si on vous dit souvent « nan, mais arrête de te prendre la tête » ou « pffff, tu te poses trop de questions »
Si en guise de cerveau vous avez souvent l’impression d’avoir un hamster cocaïné qui tourne dans sa roue, un coupeur de cheveux en quatre du style « Edward » (celui aux mains d’argent) ou une autre métaphore du même genre
Si vous avez tendance à une forme d’hypersensibilité émotionnelle et affective.
Si vous avez du mal avec les normes, les étiquettes et les cases dans lesquelles on met les gens (y compris celle-ci)
Si vous avez une sensibilité exacerbée face à l’échec
Si vous avez tendance au perfectionnisme (… et à son corollaire, la procrastination)
Si « L’Albatros » de Baudelaire vous parle… si vos ailes de géant vous encombrent dans la vie quotidienne (même si c’est trop bizarre de le reconnaître)
Si depuis toujours les jours de la semaine (ou les nombres, ou les lettres, mots…) ont des couleurs, si certains propos « sonnent juste » quand d’autres vous écorchent les tympans (synesthésie).
Si quand un site internet vous intéresse vous allez TOUT lire, du milieu à la fin en passant par le début (nan, ça c’est juste moi c’est sûr…).
Si l’une ou plusieurs de ces phrases a fait « tilt » dans votre esprit… Ou si vous saviez déjà que vous avez ce mode de fonctionnement et que cette énumération vous a ennuyé.e parce que vous attendiez la suite :
Je vous le dis, oui, il est possible d’être heureux.se en pensant « trop » et en se posant « trop de questions ».
Je vous accompagne pas à pas pour « déplier » votre mode d’emploi intérieur et mieux vivre au quotidien.
L’hypnose, et surtout la Méthode Phoenix Capacity, sont des moyens efficaces pour vous aider à apprivoiser ce fonctionnement particulier.
Vous souhaitez plus d’informations, vous aimeriez savoir si l’accompagnement que je propose pourrait vous convenir ?